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Axel Hervelle : « Je ne songe plus à la NBA»

Axel Hervelle, qui vient de fêter ses 30 ans en mai, reste le capitaine emblématique et l’âme des Belgian Lions, malgré l’émergence d’autres talents. En 2011, il avait raté le Championnat d’Europe dans des circonstances dramatiques : blessé lors du dernier match amical contre la France, deux jours avant le départ. Il attend donc la Slovénie avec une certaine impatience.

Axel, comment appréhendez-vous ce rendezvous ?

A.H. : Avec beaucoup d’envie, c’est clair. La motivation est très présente et l’ambiance est excellente dans l’équipe.

L’accident qui vous avait privé du voyage en Lituanie, il y a deux ans, vous trotte-t-il encore en tête, alors que l’heure du départ pour Ljubljana approche ?

A.H. : Non, je n’u pense plus. Je me donne toujours à fond, à l’entraînement comme en match.

Sommes-nous armés pour faire bonne figure à Ljubljana ?

A.H. : On visera une qualification pour le deuxième tour. Rien que cela, cela témoigne déjà des progrès accomplis en une dizaine d’années. Jadis, l’objectif était de se qualifier pour l’Euro et on a dû attendre longtemps avant d’y parvenir. Aujourd’hui, on s’est qualifié pour la deuxième fois d’affilée – et pas la dernière, j’espère – et on s’y rendra avec des ambitions.

Pouvez-vous comparer l’équipe de cette campagne-ci avec celle de 2011 ?

A.H. : Aux postes 1 et 2, avec Sam Van Rossom et Jonathan Tabu, entre autres, on n’a rien à envier aux meilleures équipes européennes. Au poste 3, avec Matt Lojeski et Wen Mukubu, on est parés aussi, désormais. A l’intérieur, en revanche, on manque de taille et de poids. Tomas Van den Spiegel et Didier Mbenga ne sont plus là, et cela fait pas mal de centimètres en moins. Alors, lorsque Christophe Beghin doit sortir, on manque de solutions. On a tendance à chercher Lojeski, mais c’est un peu court comme alternative.

Dans ces circonstances, quelles seront les clefs de la réussite ? Le tir à distance et la défense ?

A.H. : La confiance. Et celle-ci passe par la défense.

Il faudra jouer cinq matches en six jours à Ljubljana. Un manque d’énergie et de lucidité risque-t-il de nous jouer des tours, à la longue ?

A.H. : C’est au coach à trouver les solutions pour effectuer les rotations nécessaires.

Etes-vous surpris par Lojeski ?

A.H. : Je n’avais jamais joué avec lui, mais j’avais suivi ses prestations à distance. C’est un joueur très intelligent : après le premier jour d’entraînement, il avait déjà assimilé tous nos systèmes. Sa lecture du jeu est exceptionnelle.

Peut-il réussir à l’Olympiacos ?

A.H. : Oui, assurément. Il n’aura pas le même rôle qu’à Ostende, il touchera moins le ballon, mais grâce à sa lecture du jeu, il sera d’une aide précieuse pour ses partenaires.

Vous-même, vous avez rempilé pour deux saisons à Bilbao malgré des problèmes financiers annoncés…

A.H. : Ces problèmes ont été solutionnés par l’Etat basque. On repartira avec les mêmes ambitions, c’est-à-dire jouer le top en Espagne et aller le plus loin possible sur le front européen. Essayer de gagner un trophée, aussi.

Songez-vous encore à la NBA ?

A.H. : Non, j’ai fait une croix dessus.

Ne pas avoir connu cette expérience vous laissera-t-il des regrets?

A.H. : Aucun. J’aurai eu une belle carrière européenne et cela suffit à mon bonheur.

Daniel Devos

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Club zoekt Coach

Nom du Club: DFBC MALMEDY
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
Personne de contact: VERJANS BERTRAND
Téléphone: 0496189362
E-mail: verjans.b@skynet.be
Information utiles: Je recherche un coach pour une équipe de poussins au sein de mon club. 2 entraînements semaine d’1h15 plus match. Très urgent car reprise ce mercredi 21 août. BERTRAND VERJANS Président

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Club recherche Coach

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Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
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Wen Mukubu : « J’ai joué avec Lojeski aux Utah Jazz !»

Sébastien Ledure, le fils de Jacques Ledure qui est avocat de profession, a fait du bon boulot, une nouvelle fois. Après Didier Mbenga et Jonathan Tabu, il a réussi à obtenir de la FIFA que Wen Mukubu soit reconnu comme Belge à part entière et plus comme naturalisé. Ce qui permettra aux Belgian Lions d’aligner côte à côte Matt Lojeski et lui lors du Championnat d’Europe.

Wen, vous voilà Belge à 100%. Quelque part logique, puisque vous aviez un passeport belge dès la naissance ?

W.M. : En fait, j’ai toujours eu trois passeports : celui du Congo, le pays où je suis né ; celui des Etats-Unis, le pays où j’ai grandi ; et celui de la Belgique, le pays de mes parents. Mais je ne l’ai su que plus tard. Quand on est jeune, on ne se soucie pas trop de ce genre de considération. Un jour, au début des années 2000, ma mère m’a apporté mon passeport belge à Miami, où j’habitais. Ce n’est que lorsqu’on commence à jouer au basket en Europe que l’on prend conscience de l’importance de ce document.

Avec Matt Lojeski et vous, l’équipe nationale belge dispose désormais d’une force de frappe toute neuve à l’aile. Deux joueurs complémentaires qui doivent faire de ce poste jadis faible l’un de nos points forts…

W.M. : Ah ça, pour être complémentaires, on est complémentaires ! Matt et moi avons des caractéristiques tout à fait différentes. Nous nous connaissons depuis longtemps. Savez-vous que nous avons même joué ensemble aux Utah Jazz ? En Summer League, s’entend. C’était en 2007, si je me souviens bien. Matt était impatient de rejoindre l’équipe nationale belge, il m’a souvent téléphoné durant l’été. Il en avait vraiment envie. Nous voilà maintenant réunis… pour le meilleur, espérons-le.

Durant l’été, vous avez aussi signé à Charleroi…

W.M.: Les bases ont été jetées en juin, durant les Finals NBA. L’été, je retourne régulièrement à Miami, rejoindre mes frères et le reste de ma famille. Jacques Stas est venu pour commenter les matches sur BeTV. Il m’a pris comme consultant, avec Jean-Marc Mwema, qui passait également ses vacances en Floride. Il est aussi venu à la maison et nous avons discuté d’un possible transfert au Spirou.

Vous aviez d’autres propositions ? De l’étranger, notamment?

W.M : Oui. De France, d’Allemagne, d’Israël. Mais ma priorité était de rester en Belgique. Et puis, Charleroi c’est Charleroi. A savoir, un club qui lutte chaque année pour les trophées. C’est ce à quoi j’aspirais. Je veux me bâtir un palmarès.

Quitte à rogner sur votre temps de jeu ?

W.M : Mais vous savez, dans mes clubs précédents, je n’ai jamais exigé de jouer 35 minutes par match. Ce sont les circonstances et la composition de l’effectif qui l’ont voulu. Tout comme elles m’ont amené à prendre souvent mes responsabilités offensivement, ce qui m’a parfois fait passer pour un individualiste. Je suis parfaitement capable de me mettre au service de l’équipe et de faire passer mon intérêt personnel avant le mien. D’ailleurs, si cette attitude me permet de gagner, il y va aussi de mon intérêt. Or, je veux gagner, être un vainqueur.

Daniel Devos

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Wen Mukubu : « J’ai joué avec Lojeski aux Utah Jazz !»

Sébastien Ledure, le fils de Jacques Ledure qui est avocat de profession, a fait du bon boulot, une nouvelle fois. Après Didier Mbenga et Jonathan Tabu, il a réussi à obtenir de la FIFA que Wen Mukubu soit reconnu comme Belge à part entière et plus comme naturalisé. Ce qui permettra aux Belgian Lions d’aligner côte à côte Matt Lojeski et lui lors du Championnat d’Europe.

Wen, vous voilà Belge à 100%. Quelque part logique, puisque vous aviez un passeport belge dès la naissance ?

W.M. : En fait, j’ai toujours eu trois passeports : celui du Congo, le pays où je suis né ; celui des Etats-Unis, le pays où j’ai grandi ; et celui de la Belgique, le pays de mes parents. Mais je ne l’ai su que plus tard. Quand on est jeune, on ne se soucie pas trop de ce genre de considération. Un jour, au début des années 2000, ma mère m’a apporté mon passeport belge à Miami, où j’habitais. Ce n’est que lorsqu’on commence à jouer au basket en Europe que l’on prend conscience de l’importance de ce document.

Avec Matt Lojeski et vous, l’équipe nationale belge dispose désormais d’une force de frappe toute neuve à l’aile. Deux joueurs complémentaires qui doivent faire de ce poste jadis faible l’un de nos points forts…

W.M. : Ah ça, pour être complémentaires, on est complémentaires ! Matt et moi avons des caractéristiques tout à fait différentes. Nous nous connaissons depuis longtemps. Savez-vous que nous avons même joué ensemble aux Utah Jazz ? En Summer League, s’entend. C’était en 2007, si je me souviens bien. Matt était impatient de rejoindre l’équipe nationale belge, il m’a souvent téléphoné durant l’été. Il en avait vraiment envie. Nous voilà maintenant réunis… pour le meilleur, espérons-le.

Durant l’été, vous avez aussi signé à Charleroi…

W.M.: Les bases ont été jetées en juin, durant les Finals NBA. L’été, je retourne régulièrement à Miami, rejoindre mes frères et le reste de ma famille. Jacques Stas est venu pour commenter les matches sur BeTV. Il m’a pris comme consultant, avec Jean-Marc Mwema, qui passait également ses vacances en Floride. Il est aussi venu à la maison et nous avons discuté d’un possible transfert au Spirou.

Vous aviez d’autres propositions ? De l’étranger, notamment?

W.M : Oui. De France, d’Allemagne, d’Israël. Mais ma priorité était de rester en Belgique. Et puis, Charleroi c’est Charleroi. A savoir, un club qui lutte chaque année pour les trophées. C’est ce à quoi j’aspirais. Je veux me bâtir un palmarès.

Quitte à rogner sur votre temps de jeu ?

W.M : Mais vous savez, dans mes clubs précédents, je n’ai jamais exigé de jouer 35 minutes par match. Ce sont les circonstances et la composition de l’effectif qui l’ont voulu. Tout comme elles m’ont amené à prendre souvent mes responsabilités offensivement, ce qui m’a parfois fait passer pour un individualiste. Je suis parfaitement capable de me mettre au service de l’équipe et de faire passer mon intérêt personnel avant le mien. D’ailleurs, si cette attitude me permet de gagner, il y va aussi de mon intérêt. Or, je veux gagner, être un vainqueur.

Daniel Devos

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Actualités des clubs

Street Basket à Mons

La 5ème édition du « Street Basket », organisé conjointement par Belfius Mons-Hainaut et le Piétonnier Montois se tiendra le samedi 24 août de 14h à 17h dans le haut du piétonnier (près de la fontaine).

 

Le concept de ce Street Basket est de permettre aux ados (12-18 ans) de venir se mesurer aux joueurs professionnels de l’équipe montoise sur un terrain monté dans le piétonnier.

Sous la forme de petits matchs de basket de quelques minutes (équipes mixtes joueurs pros – ados), rythmés par le tempo d’un DJ. A noter qu’il s’agira de la toute première sortie publique de l’équipe version 2013-2014 !

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Street Basket à Mons

La 5ème édition du « Street Basket », organisé conjointement par Belfius Mons-Hainaut et le Piétonnier Montois se tiendra le samedi 24 août de 14h à 17h dans le haut du piétonnier (près de la fontaine).

 

Le concept de ce Street Basket est de permettre aux ados (12-18 ans) de venir se mesurer aux joueurs professionnels de l’équipe montoise sur un terrain monté dans le piétonnier.

Sous la forme de petits matchs de basket de quelques minutes (équipes mixtes joueurs pros – ados), rythmés par le tempo d’un DJ. A noter qu’il s’agira de la toute première sortie publique de l’équipe version 2013-2014 !

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Eddy Casteels : « L’équipe nationale belge, c’est mon cœur »

A un peu plus de deux semaines du départ pour le Championnat d’Europe, nous avons rencontré le coach des Belgian Lions, Eddy Casteels.
Eddy, comment sentez-vous l’équipe à 15 jours du grand rendez-vous ?
E.C. : L’envie est là, c’est incontestable. Une grande envie. J’ai un groupe formidable, je pense même que c’est le meilleur groupe que j’ai jamais eu. Il reste des détails à peaufiner : les écrans, les déplacements sans ballon, des choses comme cela. Mais c’est normal : la préparation n’est pas terminée, c’est au début septembre qu’il faudra être au top. On s’en approche progressivement.
Avec Wen Mukubu et Matt Lojeski, vous disposez désormais d’armes de premier choix à l’aile : un poste qui a longtemps constitué le maillon faible…
E.C. : On peut dire cela, c’est exact. Mais tous les joueurs sont importants. Je n’oublie pas des gars comme Quentin Serron et Jean-Marc Mwema, dont on parle peu. Eux aussi auront un rôle à jouer et ils représentent l’avenir.
Comment se passe l’intégration de Lojeski ?
E.C. : Sans anicroche. C’est un grand joueur, mais aussi un grand monsieur. Humainement, il est exceptionnel. Il guide les plus jeunes, leur parle beaucoup mais est lui aussi à l’écoute.
Le point faible, c’est désormais le poste n°5 ?
E.C. : Avec le seul Christophe Beghin qui joue dos à l’anneau, on est effectivement un peu court. Yannick Driesen n’est pas, à mes yeux, un vrai n°5 dans la raquette. Malgré sa taille, il a tendance à s’éloigner de l’anneau pour tirer à distance. Son jeu ennuie beaucoup l’adversaire, mais en attendant, ce n’est pas un vrai pivot.
Il y a deux ans, en Lituanie, vous considériez le Championnat d’Europe comme l’aboutissement de sept ans de travail. Mais les dés ont été pipés avec la blessure d’Axel Hervelle juste avant le départ. Ce tournoi-ci est-il l’occasion de démontrer la valeur des Belges avec un effectif au complet ?
E.C. : Un championnat d’Europe, c’est toujours un événement. Et y participer est toujours quelque chose de très spécial pour moi.
A tel point que vous avez refusé des offres de clubs étrangers…
E.C. : Je n’avais qu’à dire oui. Mais je ne pouvais pas laisser tomber les Belgian Lions. L’équipe nationale belge, c’est mon cœur. J’ai travaillé pendant neuf ans pour atteindre ce résultat, en sacrifiant ma vie de famille, en faisant du tort à mes enfants. Voilà neuf ans, maintenant, que j’alterne club et équipe nationale, en y passant les vacances. Je ne suis pas un robot.
L’objectif, en Slovénie, sera de passer le premier tour ?
E.C. : Le premier objectif sera de gagner le premier match. Si on y parvient, on essaiera de gagner le deuxième match. Et ainsi de suite. Si on parvient à franchir le premier tour, on visera encore plus loin. Un pas à la fois.
Lorsque le championnat d’Europe sera terminé, vous en serez réduit à attendre qu’un coach soit licencié pour reprendre du service en club…
E.C. Je ne pense pas encore à cela. Chaque chose en son temps.
L’étranger, cela vous tente ?
E.C. : Beaucoup. Après 20 ans dans le basket belge, j’en connais tous les recoins. Je ne suis pas blasé, mais j’aspire à connaître autre chose. Une expérience à l’étranger enrichirait encore mon bagage.
Lorsqu’un club vous sollicitera, mettrez-vous comme condition le fait de pouvoir continuer à coacher les Belgian Lions ?
E.C. : On n’en est pas encore là. Beaucoup de choses peuvent se passer. Voudra-t-on encore de moi ? Les joueurs en auront peut-être marre de voir ma tête ? En ce qui me concerne, je suis disposé à aider le basket belge à se développer. Ce n’est pas uniquement une question de joueurs, mais aussi de structures, d’organisation. Il y a des choses à faire sur le terrain, mais aussi autour du terrain. Si l’on me parle de basket, je suis toujours toute ouïe. Mais si l’on veut me parler de politique, je coupe. J’en ai marre.
Daniel Devos

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Eddy Casteels : « L’équipe nationale belge, c’est mon cœur »

A un peu plus de deux semaines du départ pour le Championnat d’Europe, nous avons rencontré le coach des Belgian Lions, Eddy Casteels.
Eddy, comment sentez-vous l’équipe à 15 jours du grand rendez-vous ?
E.C. : L’envie est là, c’est incontestable. Une grande envie. J’ai un groupe formidable, je pense même que c’est le meilleur groupe que j’ai jamais eu. Il reste des détails à peaufiner : les écrans, les déplacements sans ballon, des choses comme cela. Mais c’est normal : la préparation n’est pas terminée, c’est au début septembre qu’il faudra être au top. On s’en approche progressivement.
Avec Wen Mukubu et Matt Lojeski, vous disposez désormais d’armes de premier choix à l’aile : un poste qui a longtemps constitué le maillon faible…
E.C. : On peut dire cela, c’est exact. Mais tous les joueurs sont importants. Je n’oublie pas des gars comme Quentin Serron et Jean-Marc Mwema, dont on parle peu. Eux aussi auront un rôle à jouer et ils représentent l’avenir.
Comment se passe l’intégration de Lojeski ?
E.C. : Sans anicroche. C’est un grand joueur, mais aussi un grand monsieur. Humainement, il est exceptionnel. Il guide les plus jeunes, leur parle beaucoup mais est lui aussi à l’écoute.
Le point faible, c’est désormais le poste n°5 ?
E.C. : Avec le seul Christophe Beghin qui joue dos à l’anneau, on est effectivement un peu court. Yannick Driesen n’est pas, à mes yeux, un vrai n°5 dans la raquette. Malgré sa taille, il a tendance à s’éloigner de l’anneau pour tirer à distance. Son jeu ennuie beaucoup l’adversaire, mais en attendant, ce n’est pas un vrai pivot.
Il y a deux ans, en Lituanie, vous considériez le Championnat d’Europe comme l’aboutissement de sept ans de travail. Mais les dés ont été pipés avec la blessure d’Axel Hervelle juste avant le départ. Ce tournoi-ci est-il l’occasion de démontrer la valeur des Belges avec un effectif au complet ?
E.C. : Un championnat d’Europe, c’est toujours un événement. Et y participer est toujours quelque chose de très spécial pour moi.
A tel point que vous avez refusé des offres de clubs étrangers…
E.C. : Je n’avais qu’à dire oui. Mais je ne pouvais pas laisser tomber les Belgian Lions. L’équipe nationale belge, c’est mon cœur. J’ai travaillé pendant neuf ans pour atteindre ce résultat, en sacrifiant ma vie de famille, en faisant du tort à mes enfants. Voilà neuf ans, maintenant, que j’alterne club et équipe nationale, en y passant les vacances. Je ne suis pas un robot.
L’objectif, en Slovénie, sera de passer le premier tour ?
E.C. : Le premier objectif sera de gagner le premier match. Si on y parvient, on essaiera de gagner le deuxième match. Et ainsi de suite. Si on parvient à franchir le premier tour, on visera encore plus loin. Un pas à la fois.
Lorsque le championnat d’Europe sera terminé, vous en serez réduit à attendre qu’un coach soit licencié pour reprendre du service en club…
E.C. Je ne pense pas encore à cela. Chaque chose en son temps.
L’étranger, cela vous tente ?
E.C. : Beaucoup. Après 20 ans dans le basket belge, j’en connais tous les recoins. Je ne suis pas blasé, mais j’aspire à connaître autre chose. Une expérience à l’étranger enrichirait encore mon bagage.
Lorsqu’un club vous sollicitera, mettrez-vous comme condition le fait de pouvoir continuer à coacher les Belgian Lions ?
E.C. : On n’en est pas encore là. Beaucoup de choses peuvent se passer. Voudra-t-on encore de moi ? Les joueurs en auront peut-être marre de voir ma tête ? En ce qui me concerne, je suis disposé à aider le basket belge à se développer. Ce n’est pas uniquement une question de joueurs, mais aussi de structures, d’organisation. Il y a des choses à faire sur le terrain, mais aussi autour du terrain. Si l’on me parle de basket, je suis toujours toute ouïe. Mais si l’on veut me parler de politique, je coupe. J’en ai marre.
Daniel Devos

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Club zoekt Speelster/Speler

Nom du Club: BC Sombreffe Féminin
Recherche: joueuse
Niveau de l’equipe: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Position: 4, 5
Personne de contact: Benjamin Themans
Téléphone: 0495927074
E-mail: benjamin.themans@gmail.com
Information utiles: Bonjour, Nous recherchons des joueuses pour nos deux équipes seniors: R2 et P1 R2: Poste 4 ou 5 de niveau régional P1: Tout les postes (de niveau fort P2 ou niveau P1).

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Club recherche Joueuse/Joueur

Nom du Club: BC Sombreffe Féminin
Recherche: joueuse
Niveau de l’equipe: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Position: 4, 5
Personne de contact: Benjamin Themans
Téléphone: 0495927074
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Information utiles: Bonjour, Nous recherchons des joueuses pour nos deux équipes seniors: R2 et P1 R2: Poste 4 ou 5 de niveau régional P1: Tout les postes (de niveau fort P2 ou niveau P1).

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Coach zoekt Club

I’m looking for a job as a basketball coach. I’m a retired Physical Education Teacher and I’ve been a F.I.B.A. basketball coach for many years. I was the BB coach of the male costaricain national team and a 1st Division coach there. Also a BB male coach in Italy and the female 3rd Division in Monaco. I live now in Normandy, France. If you’re interested in a experienced basketball coach, don’t hesitate in contact me.
Cel. OO33 6 86 55 94 12