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Le deuxième tour (play-up et play-down) débute ce week-end

Après un week-end de relâche, destiné à établir le calendrier, le deuxième tour du championnat de TDM1 débute ce week-end prochain. Le premier groupe, aussi appelé play-up, opposera les quatre premiers de la poule 1 aux quatre premiers de la poule 2, tandis que le deuxième groupe, aussi appelé play-down, opposera les quatre derniers de la poule 1 aux trois (puisque Merelbeke Haws a déclaré forfait général) derniers de la poule 2.

En play-up, le premier match opposera, samedi à 20h00, House of Talents Kortrijk Spurs aux Antwerp Giants B. On se souviendra qu’en début de saison, les Courtraisiens (qui ont demandé les conditions de licence pour monter en betFIRST BNXT League la saison prochaine) avaient affronté l’équipe A des Antwerp Giants en Coupe de Belgique, et avaient opposé une belle résistance. Une demi-heure plus tard, à 20h30, l’autre ténor de la poule 2, LDP Donza, accueillera le Basics Melsele. Un joli choc, là aussi. Le champion en titre, Guco Lier, recevra dimanche à 14h30 le SKT Ypres, tandis que dimanche également mais à 16h00, le Royal Brussels (qui s’était fixé comme objectif de terminer dans le Top 4 de sa poule et l’a atteint) donnera la réplique, au Palais du Midi, à Gembo Borgerhout, qui s’est qualifié in extremis pour le groupe pour le play-up lors de la dernière journée.

En play-down, où il n’y aura qu’un seul descendant (le deuxième, déjà acté, est Merelbeke Hawks), tous les matches se joueront samedi. A 20h00, Kontich Wolves accueillera le Spirou B. Les jeunes Carolos, qui n’ont toujours pas remporté le moindre match, auront bien du mal à s’en sortir. Mais ils apprennent le métier. A 20h30, Lommel donnera la réplique à Waregem. Un affrontement entre deux équipes sans doute déçues de ne pas avoir réussi à se qualifier pour le play-up. Enfin, à 20h45, Neufchâteau (qui a fait bonne figure lors du premier tour) recevra Oxaco Boechout, une équipe anversoise qui a fait partie des ténors dans un passé récent mais est en pleine reconstruction.

Daniel Devos

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