Voilà trois matches que Jean-Marie Barbier se trouve à la tête du CEP Fleurus : le premier fut perdu à Oxaco Boechout, le deuxième fut gagné contre Houthalen et le troisième fut logiquement perdu, ce mardi, face aux pensionnaires de D1 de Liège Basket en Coupe de Belgique. « Nous avons eu de bons passages, mais nous avons commis trop de pertes de balles pour espérer réussir un meilleur résultat », constate-t-il. « A la longue, le physique a aussi fait la différence. Ce sont des joueurs qui s’entraînent deux fois par jour et sont habitués à jouer à un rythme plus élevé. »
Barbier constate-t-il une évolution dans le jeu de ses troupes, depuis qu’il a repris l’équipe en mains ? « Je commence surtout à mieux connaître mon groupe et à mieux cerner ses lacunes. Elles sont surtout d’ordre défensif. Offensivement aussi, il y a des lacunes. Certains ont fustigé la difficulté de mes joueurs à attaquer une défense de zone, mais ils sont parfois en problèmes sur une défense individuelle également. Bref, il reste du travail. Malheureusement, avec l’enchaînement des matches, je n’ai que peu de temps pour travailler tout cela aux entraînements. »
Daniel Devos