Fulvio Bastianini a reçu son trophée de Coach de l’Année avant le coup d’envoi du match Ostende-Alost, hier soir à la Sleuyter Arena. Un fait mérite d’être souligné : Dario Gjergja, qui aurait également mérité d’être couronné, s’est spontanément levé pour applaudir le mentor de Liège Basket, et tout le public ostendais l’a suivi, réservant une standing ovation au lauréat du Country Hall. Une attitude très fair-play qui a touché Bastianini.
Celui-ci sait qu’une tâche difficile l’attendra la saison prochaine : il a déjà perdu Mike Smith et Lionel Bosco, et s’est résigné à l’idée de perdre également Ioann Iarochevitch. Des éléments qu’il ne sera guère aisé de remplacer. « On tentera de faire le maximum avec les moyens du bord », rétorque Bastianini.
Daniel Devos