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Jeux de la francophonie : Félicitations aux sprimontoises

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Provinciale (Hainaut) : Le 5 majeurs des coachs

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Matchs amicaux N1H / Vriendschappelijke wedstrijden N1H

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Transfert : Andrija Stipanovic à Ostende

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Dennis Rodman ne sera finalement pas le coach de la Corée du Nord

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Dennis Rodman coach de la Corée du Nord

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Andre Riddick va mettre un terme a sa longue carrière

Le 24 septembre prochain, lors du match de gala Spirou Vs. Maccabi Tel Aviv, Le Belgacom Spirou Basket Club mettra à l’honneur celui qui pendant plus de 10 années à porté fièrement les couleurs du club. A cette occasion, Andre rehaussera son n°10 pour nous faire vibrer une dernière fois. Ne manquez pas l’occasion de venir « saluer » ce GRAND Monsieur dans tous les sens du terme!

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Andre Riddick va mettre un terme a sa longue carrière

Le 24 septembre prochain, lors du match de gala Spirou Vs. Maccabi Tel Aviv, Le Belgacom Spirou Basket Club mettra à l’honneur celui qui pendant plus de 10 années à porté fièrement les couleurs du club. A cette occasion, Andre rehaussera son n°10 pour nous faire vibrer une dernière fois. Ne manquez pas l’occasion de venir « saluer » ce GRAND Monsieur dans tous les sens du terme!

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Présentation de la D2 : « Sint-Jan est favori »

La Nationale 2, qui prend son envol le week-end prochain, est très peu médiatisée : entre la Ligue Ethias qui jouit d’un grand intérêt dans la presse nationale et les séries régionales ou provinciales qui trouvent leur place dans la presse locale, elle fait un peu office de tampon. Inforbasket tentera de remédier à cette lacune en vous proposant des portraits et analyses. Pour commencer, nous avons demandé à deux coaches (Steve Ibens pour la partie nord du pays et Patrick Verdun pour la partie sud) de préfacer le championnat 2013-2014.

Ils sont unanimes sur le nom du favori : Sint-Jan. « L’équipe anversoise a engagé deux pivots étrangers et a conservé Senne Geukens : cela en dit long sur les ambitions», justifie Ibens. «  Waregem m’apparaît solide également. Gand, avec Sébastien Bellin et Leigh Enobakhare si la faculté l’autorise à jouer (NDLR : il souffre de problèmes cardiaques), figurera parmi les prétendants. Gembo, en revanche, m’apparait moins tranchant : les départs de Loubry, Celis et Desiron ne seront pas faciles à combler.»

Verdun cite, lui aussi, Sint-Jan comme favori. « Après, il y a les valeurs sûres de la D2 comme Gand et Sprimont. Et même Mons-Hainaut B, qui a acquis six joueurs et me semble supérieur à l’équipe que j’ai coachée la saison dernière. Je me méfie également des montants, comme Melsele ou Wevelgem. Il y aura 16 équipes cette saison, ce sera un long championnat, et au bout du compte : tout le monde peut battre tout le monde. »

Quant à leur propre équipe : « Saint-Nicolas devra réduire ses ambitions à la baisse », prédit Ibens. « Nous avons perdu quatre joueurs, dont Sébastien Vermeulen. Nous manquons, dès lors, de puissance dans la raquette. Je vais essayer d’imposer un jeu rapide et agressif pour compenser cette lacune. Un peu comme l’équipe nationale belge, toutes proportions gardées. »

« En ce qui concerne Fleurus : d’abord atteindre les playoffs, après on verra », annonce Verdun. « Notre objectif est de faciliter le passage des jeunes de la N3 vers la N2. C’est pour mes qualités de formateur que j’ai été (ré)engagé dans ce club où j’ai déjà passé quatre années précédemment. Je reste d’ailleurs directeur technique du centre de formation de Mons où je m’occuperai des Pupilles. »

La N2, un bon écolage pour les jeunes ? « Certainement », estime Verdun. « Cette série permet aux jeunes pousses de se frotter à des joueurs expérimentés dont certains redescendent de D1. C’est un mix entre divers types de joueurs. »

La N2 souffre toutefois de la toute-puissance de la Ligue Ethias qui est quasiment devenu une ligue fermée. « Le piment lié à la compétition sportive me manque », reconnaît Ibens. « Quand on voit que l’Excelsior, malgré une 11e place, a tout de même obtenu sa licence pour la D1, on se demande à quoi cela sert de puiser son énergie pour gagner des matches et terminer le plus haut possible au classement. Le titre de N2 est purement honorifique. L’honneur, c’est bien, mais cela ne motive pas toujours les joueurs. »

L’importance toute relative du classement devrait inciter les dirigeants à gérer leur club en bon père de famille, sans faire de folies. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. « Chaque année, on voit des joueurs qui apparaissent en renforts en plein milieu du championnat… et des clubs qui disparaissent au terme de l’exercice, exsangues financièrement. C’est encore le cas cette année. Faut-il vraiment casser sa tirelire pour satisfaire aux aspirations de je ne sais qui ? »

Certaines équipes ont-elles l’ambition de demander une licence pour la Ligue Ethias en fin de saison ? Il est encore trop tôt pour le dire. Cela dépendra de la situation financière et de l’arrivée de sponsors, davantage que des résultats sportifs. On songe particulièrement à Gand, qui avait déjà envisagé un retour en D1 l’an passé avant d’y renoncer. « En ce qui concerne les clubs anversois, je ne vois pas l’intérêt d’avoir une équipe supplémentaire comme Sint-Jan ou Gembo, alors qu’il y a déjà les Giants et les Kangoeroes », estime Ibens.

Daniel Devos

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Présentation de la D2 : « Sint-Jan est favori »

La Nationale 2, qui prend son envol le week-end prochain, est très peu médiatisée : entre la Ligue Ethias qui jouit d’un grand intérêt dans la presse nationale et les séries régionales ou provinciales qui trouvent leur place dans la presse locale, elle fait un peu office de tampon. Inforbasket tentera de remédier à cette lacune en vous proposant des portraits et analyses. Pour commencer, nous avons demandé à deux coaches (Steve Ibens pour la partie nord du pays et Patrick Verdun pour la partie sud) de préfacer le championnat 2013-2014.

Ils sont unanimes sur le nom du favori : Sint-Jan. « L’équipe anversoise a engagé deux pivots étrangers et a conservé Senne Geukens : cela en dit long sur les ambitions», justifie Ibens. «  Waregem m’apparaît solide également. Gand, avec Sébastien Bellin et Leigh Enobakhare si la faculté l’autorise à jouer (NDLR : il souffre de problèmes cardiaques), figurera parmi les prétendants. Gembo, en revanche, m’apparait moins tranchant : les départs de Loubry, Celis et Desiron ne seront pas faciles à combler.»

Verdun cite, lui aussi, Sint-Jan comme favori. « Après, il y a les valeurs sûres de la D2 comme Gand et Sprimont. Et même Mons-Hainaut B, qui a acquis six joueurs et me semble supérieur à l’équipe que j’ai coachée la saison dernière. Je me méfie également des montants, comme Melsele ou Wevelgem. Il y aura 16 équipes cette saison, ce sera un long championnat, et au bout du compte : tout le monde peut battre tout le monde. »

Quant à leur propre équipe : « Saint-Nicolas devra réduire ses ambitions à la baisse », prédit Ibens. « Nous avons perdu quatre joueurs, dont Sébastien Vermeulen. Nous manquons, dès lors, de puissance dans la raquette. Je vais essayer d’imposer un jeu rapide et agressif pour compenser cette lacune. Un peu comme l’équipe nationale belge, toutes proportions gardées. »

« En ce qui concerne Fleurus : d’abord atteindre les playoffs, après on verra », annonce Verdun. « Notre objectif est de faciliter le passage des jeunes de la N3 vers la N2. C’est pour mes qualités de formateur que j’ai été (ré)engagé dans ce club où j’ai déjà passé quatre années précédemment. Je reste d’ailleurs directeur technique du centre de formation de Mons où je m’occuperai des Pupilles. »

La N2, un bon écolage pour les jeunes ? « Certainement », estime Verdun. « Cette série permet aux jeunes pousses de se frotter à des joueurs expérimentés dont certains redescendent de D1. C’est un mix entre divers types de joueurs. »

La N2 souffre toutefois de la toute-puissance de la Ligue Ethias qui est quasiment devenu une ligue fermée. « Le piment lié à la compétition sportive me manque », reconnaît Ibens. « Quand on voit que l’Excelsior, malgré une 11e place, a tout de même obtenu sa licence pour la D1, on se demande à quoi cela sert de puiser son énergie pour gagner des matches et terminer le plus haut possible au classement. Le titre de N2 est purement honorifique. L’honneur, c’est bien, mais cela ne motive pas toujours les joueurs. »

L’importance toute relative du classement devrait inciter les dirigeants à gérer leur club en bon père de famille, sans faire de folies. Malheureusement, ce n’est pas toujours le cas. « Chaque année, on voit des joueurs qui apparaissent en renforts en plein milieu du championnat… et des clubs qui disparaissent au terme de l’exercice, exsangues financièrement. C’est encore le cas cette année. Faut-il vraiment casser sa tirelire pour satisfaire aux aspirations de je ne sais qui ? »

Certaines équipes ont-elles l’ambition de demander une licence pour la Ligue Ethias en fin de saison ? Il est encore trop tôt pour le dire. Cela dépendra de la situation financière et de l’arrivée de sponsors, davantage que des résultats sportifs. On songe particulièrement à Gand, qui avait déjà envisagé un retour en D1 l’an passé avant d’y renoncer. « En ce qui concerne les clubs anversois, je ne vois pas l’intérêt d’avoir une équipe supplémentaire comme Sint-Jan ou Gembo, alors qu’il y a déjà les Giants et les Kangoeroes », estime Ibens.

Daniel Devos

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Paul Vervaeck : « Le projet d’Anvers me plaît énormément »

Alors qu’Eddy Casteels s’envole ce lundi pour la Slovénie, où il sera privé de Matt Lojeski pour le Championnat d’Europe (la malédiction s’acharne décidément sur les Lions, après la blessure d’Axel Hervelle il y a deux ans), son successeur aux Antwerp Giants, Paul Vervaeck, prépare activement le prochain championnat de Belgique.

Voilà 15 jours que vous avez repris les entraînements. Quelles sont vos premières impressions ?

P.V. : – Très positives. Je sens une énorme motivation auprès des joueurs, qui se montrent très réceptifs. Par ailleurs, nous sommes toujours incomplets. C’est une grande fierté de compter quatre internationaux (NDLR : Roel Moors, Jean-Marc Mwema, Yannick Driesen et Maxime De Zeeuw), mais cela perturbe la préparation. Le point positif, c’est que cela me permet d’intégrer les jeunes de la deuxième équipe, qui s’entraînent avec nous avec assiduité. Car cela fait aussi partie du projet et c’est en partie ce qui m’a amené à Anvers : l’un des objectifs est d’accentuer la formation et de faire monter des jeunes en équipe Première. Tout ce projet me plaît énormément.

Quelles seront les ambitions ? Les playoffs, cela semble un minimum, mais après ?

P.V. : – Je nous crois capables de réaliser une très belle saison. L’effectif recèle des qualités diverses : il y a de l’expérience avec Roel Moors et Frank Turner entre autres, et à côté de cela, il y a des jeunes qui montrent déjà beaucoup de talent et disposent encore d’une belle marge de progression. On a du shoot, de la puissance, du rebond, bref un peu de tout. Si tout se passe bien, on devrait pouvoir viser haut.

Ce qui a manqué aux Giants pendant les cinq années de règne d’Eddy Casteels, c’est un trophée…

P.V. : – Oui, en effet. Ce serait bien de garnir la vitrine avec une coupe ou, mieux encore, un trophée du champion. Mais ne comptez pas sur moi pour critiquer Eddy : je travaille aujourd’hui dans un club aux structures très professionnelles où tout est réglé dans les moindres détails, et c’est à lui qu’on le doit. Il a su développer les Giants et en faire un club presque modèle.

On se souvient de vous à Bree où vous aviez été élu coach de l’année en 2001, mais depuis combien d’années n’aviez-vous plus coaché en D1 ?

P.V. : – Cinq ans. Cela remonte à ma période à Den Helder, le club néerlandais où officie actuellement Jean-Marc Jaumin. On était très satisfait de mes services là-bas, mais le club est tombé en faillite. Sans cela, j’y serais peut-être toujours. Après, on m’a proposé une fonction à la VBL (l’aile flamande de la fédération), c’était difficilement compatible avec un job en D1. Raison pour laquelle je me suis orienté vers la D2.

Kangoeroes, puis Fleurus la saison dernière : deux clubs où vous avez mis l’accent sur la formation…

P.V. : – Oui, cela avait d’ailleurs perturbé certains dirigeants à Boom. On ne comprenait pas pourquoi je voulais me défaire de tous les joueurs d’expérience, à l’exception de trois. Je pense pourtant que le faits m’ont donné raison : avec une équipe très jeune, dont certains joueurs n’avaient que 16 ou 17 ans, on a été champion de D2, on a gagné la Coupe des Flandres, on a éliminé Pepinster en Coupe de Belgique… Et quand je vois la dimension qu’a pris un Manu Lecomte, par exemple… A Fleurus, j’ai aussi donné une chance aux jeunes, comme Louis Hazard et Amaury Marion. La D2 doit, à mes yeux, être utilisée pour former de jeunes joueurs aux tâches futures. Je ne comprends ces clubs qui, à cet étage, dépensent de l’argent pour attirer des « noms ». On ne peut quand même pas descendre et le titre n’est qu’honorifique.

Vous sortez du Championnat d’Europe U20, où la Belgique a loupé l’accession à la Division A d’un petit point (défaite 69-70 contre la Hongrie dans le match pour la 3e place). Est-ce une satisfaction ou une déception ?

P.V. : – Je ressens surtout une immense fierté. On était partis là-bas sans trois joueurs majeurs, blessés ou aux études. Beaucoup nous prédisaient une campagne désastreuse. Ils craignaient que nous rentrions sans la moindre victoire. Au lieu de cela, nous avons atteint les demi-finales. C’est fantastique. Bien sûr, pour la Belgique, il eut été préférable d’être promu en Division A, mais pour tous les joueurs présents, ce fut une expérience incroyable dont ils retireront les bénéfices.

Daniel Devos

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Paul Vervaeck : « Le projet d’Anvers me plaît énormément »

Alors qu’Eddy Casteels s’envole ce lundi pour la Slovénie, où il sera privé de Matt Lojeski pour le Championnat d’Europe (la malédiction s’acharne décidément sur les Lions, après la blessure d’Axel Hervelle il y a deux ans), son successeur aux Antwerp Giants, Paul Vervaeck, prépare activement le prochain championnat de Belgique.

Voilà 15 jours que vous avez repris les entraînements. Quelles sont vos premières impressions ?

P.V. : – Très positives. Je sens une énorme motivation auprès des joueurs, qui se montrent très réceptifs. Par ailleurs, nous sommes toujours incomplets. C’est une grande fierté de compter quatre internationaux (NDLR : Roel Moors, Jean-Marc Mwema, Yannick Driesen et Maxime De Zeeuw), mais cela perturbe la préparation. Le point positif, c’est que cela me permet d’intégrer les jeunes de la deuxième équipe, qui s’entraînent avec nous avec assiduité. Car cela fait aussi partie du projet et c’est en partie ce qui m’a amené à Anvers : l’un des objectifs est d’accentuer la formation et de faire monter des jeunes en équipe Première. Tout ce projet me plaît énormément.

Quelles seront les ambitions ? Les playoffs, cela semble un minimum, mais après ?

P.V. : – Je nous crois capables de réaliser une très belle saison. L’effectif recèle des qualités diverses : il y a de l’expérience avec Roel Moors et Frank Turner entre autres, et à côté de cela, il y a des jeunes qui montrent déjà beaucoup de talent et disposent encore d’une belle marge de progression. On a du shoot, de la puissance, du rebond, bref un peu de tout. Si tout se passe bien, on devrait pouvoir viser haut.

Ce qui a manqué aux Giants pendant les cinq années de règne d’Eddy Casteels, c’est un trophée…

P.V. : – Oui, en effet. Ce serait bien de garnir la vitrine avec une coupe ou, mieux encore, un trophée du champion. Mais ne comptez pas sur moi pour critiquer Eddy : je travaille aujourd’hui dans un club aux structures très professionnelles où tout est réglé dans les moindres détails, et c’est à lui qu’on le doit. Il a su développer les Giants et en faire un club presque modèle.

On se souvient de vous à Bree où vous aviez été élu coach de l’année en 2001, mais depuis combien d’années n’aviez-vous plus coaché en D1 ?

P.V. : – Cinq ans. Cela remonte à ma période à Den Helder, le club néerlandais où officie actuellement Jean-Marc Jaumin. On était très satisfait de mes services là-bas, mais le club est tombé en faillite. Sans cela, j’y serais peut-être toujours. Après, on m’a proposé une fonction à la VBL (l’aile flamande de la fédération), c’était difficilement compatible avec un job en D1. Raison pour laquelle je me suis orienté vers la D2.

Kangoeroes, puis Fleurus la saison dernière : deux clubs où vous avez mis l’accent sur la formation…

P.V. : – Oui, cela avait d’ailleurs perturbé certains dirigeants à Boom. On ne comprenait pas pourquoi je voulais me défaire de tous les joueurs d’expérience, à l’exception de trois. Je pense pourtant que le faits m’ont donné raison : avec une équipe très jeune, dont certains joueurs n’avaient que 16 ou 17 ans, on a été champion de D2, on a gagné la Coupe des Flandres, on a éliminé Pepinster en Coupe de Belgique… Et quand je vois la dimension qu’a pris un Manu Lecomte, par exemple… A Fleurus, j’ai aussi donné une chance aux jeunes, comme Louis Hazard et Amaury Marion. La D2 doit, à mes yeux, être utilisée pour former de jeunes joueurs aux tâches futures. Je ne comprends ces clubs qui, à cet étage, dépensent de l’argent pour attirer des « noms ». On ne peut quand même pas descendre et le titre n’est qu’honorifique.

Vous sortez du Championnat d’Europe U20, où la Belgique a loupé l’accession à la Division A d’un petit point (défaite 69-70 contre la Hongrie dans le match pour la 3e place). Est-ce une satisfaction ou une déception ?

P.V. : – Je ressens surtout une immense fierté. On était partis là-bas sans trois joueurs majeurs, blessés ou aux études. Beaucoup nous prédisaient une campagne désastreuse. Ils craignaient que nous rentrions sans la moindre victoire. Au lieu de cela, nous avons atteint les demi-finales. C’est fantastique. Bien sûr, pour la Belgique, il eut été préférable d’être promu en Division A, mais pour tous les joueurs présents, ce fut une expérience incroyable dont ils retireront les bénéfices.

Daniel Devos