Catégorie : National
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Bcca Neufchâteau
- Aurélien TIBERGHIEN
- Points : : 2
- Alexis PIERRE
- Points : : 6
- Romain LLORENS
- Points : : 20
- Charly BERNARD
- Points : : 13
- Philippe GOLINVAUX
- Points : : 5
- Maxime WAUTHIER
- Points : : 5
- Alexandre BILLOT
- Points : : 6
- Clément THOMAS
- Points : : 3
- Arnaud PIETTE
- Points : : 6
Bcca Neufchâteau
- Aurélien TIBERGHIEN
- Points : : 2
- Alexis PIERRE
- Points : : 6
- Romain LLORENS
- Points : : 20
- Charly BERNARD
- Points : : 13
- Philippe GOLINVAUX
- Points : : 5
- Maxime WAUTHIER
- Points : : 5
- Alexandre BILLOT
- Points : : 6
- Clément THOMAS
- Points : : 3
- Arnaud PIETTE
- Points : : 6
La N3 est, comme d’habitude, divisée en deux séries. L’une regroupe les clubs brabançons et hennuyers avec des formations flandriennes… et Neufchâteau, à qui l’on promet quelques beaux déplacements. Eric Struelens, après avoir fait monter Melsele en N2, se retrouve cette saison à la tête du RPC Schaerbeek. « Où il faut tout recommencer de zéro, avec une toute nouvelle équipe », précise-t-il. « Dans ces conditions, je ne sais pas très bien ce que l’on peut attendre. Le maintien sera un premier objectif. Je ne vise pas plus haut pour l’instant. L’avenir dira si l’on peut revoir nos ambitions à la lumière des résultats. »
Selon Struelens, il y a de très bonnes équipes dans la série. « Je citerai particulièrement Ypres, ainsi que Gistel, la filiale d’Ostende. Peut-être aussi Woluwe, qui se montre ambitieux. Il ne faut pas sous-estimer le niveau de la N3. C’est un championnat très physique, où en match, le moindre relâchement de quelques minutes peut se payer cash. »
Toujours dans la même série, le club du Brabant Wallon, Nivelles, affichera également des ambitions modestes. « Il y a quatre ans, l’équipe évoluait encore en N2 », se souvient le directeur technique Fabien Muylaert. « Mais le club a sans doute vécu au-dessus de ses moyens et il a fallu arrêter les frais. C’est alors l’équipe de Régionale qui est montée en N3 et qui a repris le flambeau. Cette saison, l’objectif sera de vivre une saison plus tranquille que l’an passé. Nous aimerions engranger rapidement quelques victoires pour ne plus sentir le spectre de la relégation. Nous avons l’un des plus petits budgets de la série, un budget peut-être même inférieur à celui de certains clubs de Régionale, mais avec nos moyens, je trouve que nous faisons du bon boulot. »
Muylaert rejoint Struelens sur les noms des favoris de la série : « Les équipes néerlandophones sont toujours difficiles à battre. Je songe en particulier à Ypres, qui avait réalisé un bon deuxième tour l’an passé et qui s’est encore renforcé. Gistel aussi est dangereux, encore qu’avec cette équipe, cela peut varier d’une semaine à l’autre, selon qu’elle dispose ou non des jeunes joueurs d’Ostende. Et il faudra sans doute se méfier de Woluwe, qui a réalisé un profond remaniement de son effectif. »
Dans l’autre série, qui regroupe les clubs liégeois, limbourgeois et anversois, Ninane affiche certaines ambitions. « Cela fait plusieurs années que l’on côtoie le haut du tableau, mais cette fois, je pense qu’il est temps de franchir un palier et de viser l’accession à la N2 », assure le coach Mark Hawley, l’ancien joueur britannique de Liège. « Le problème se situe toujours au niveau du budget. Avec le budget qui est le nôtre, il est difficile de monter une équipe qui offre des garanties de surclasser les autres. Il y a toujours une part de risques. Pourtant, j’ai l’impression cette fois-ci pourrait être la bonne. L’équipe que j’ai sous la main est la meilleure que j’ai jamais eue. Et puis, après trois ans, les joueurs commencent à assimiler mes principes. Je n’ai pas peur de le clamer : je vise le titre. »
Quels seront les principaux rivaux ? « Bonne question. Le championnat n’a pas encore commencé et je n’ai pas encore eu l’occasion de voir tous nos adversaires à l’œuvre. En outre, beaucoup de changements ont eu lieu durant l’été, il faut donc s’attendre à quelques surprises. Je pense que, comme chaque année, Ekeren figurera parmi les prétendants. Peut-être aussi Pitzemburg. Vilvorde et Aerschot devraient aussi jouer un rôle intéressant. Du côté de Liège, je suis assez surpris par Alleur, qui vient pourtant de monter de Régionale mais qui semble présenter une équipe très compétitive. Les premières journées de compétition apporteront plus d’enseignements sur les forces en présence. »
Dans la même série, Pepinster Bis ne visera pas aussi haut. « Vu l’incertitude qui régnait sur l’avenir du club, plusieurs joueurs nous ont quitté », regrette le coach Bernard Schoonbroodt. « On a fait monter de catégorie quelques joueurs qui évoluaient déjà chez nous et on a réalisé deux transferts : un jeune joueur de 18 ans du centre de formation AWBB et le retour de Maxime Englebert, qui a déjà été affilié chez nous mais n’a pas joué l’an passé. Nous avons surtout un objectif de formation, le classement est accessoire. Même si, pour ces jeunes, il est préférable d’évoluer en N3 plutôt qu’en Régionale. »
Schoonbroodt ne veut pas trop se mouiller sur les noms des favoris de la série. « Il est encore trop tôt pour le dire. On y verra plus clair dans un mois et demi. Dans la région liégeoise, parmi Ninane, Esneux et Spa, c’est effectivement le premier cité qui présente le plus bel effectif. Mais il reste la vérité du terrain. Et les doubles affiliations présentes dans plusieurs clubs peuvent changer la donne d’une semaine à l’autre. »
Daniel Devos
La N3 est, comme d’habitude, divisée en deux séries. L’une regroupe les clubs brabançons et hennuyers avec des formations flandriennes… et Neufchâteau, à qui l’on promet quelques beaux déplacements. Eric Struelens, après avoir fait monter Melsele en N2, se retrouve cette saison à la tête du RPC Schaerbeek. « Où il faut tout recommencer de zéro, avec une toute nouvelle équipe », précise-t-il. « Dans ces conditions, je ne sais pas très bien ce que l’on peut attendre. Le maintien sera un premier objectif. Je ne vise pas plus haut pour l’instant. L’avenir dira si l’on peut revoir nos ambitions à la lumière des résultats. »
Selon Struelens, il y a de très bonnes équipes dans la série. « Je citerai particulièrement Ypres, ainsi que Gistel, la filiale d’Ostende. Peut-être aussi Woluwe, qui se montre ambitieux. Il ne faut pas sous-estimer le niveau de la N3. C’est un championnat très physique, où en match, le moindre relâchement de quelques minutes peut se payer cash. »
Toujours dans la même série, le club du Brabant Wallon, Nivelles, affichera également des ambitions modestes. « Il y a quatre ans, l’équipe évoluait encore en N2 », se souvient le directeur technique Fabien Muylaert. « Mais le club a sans doute vécu au-dessus de ses moyens et il a fallu arrêter les frais. C’est alors l’équipe de Régionale qui est montée en N3 et qui a repris le flambeau. Cette saison, l’objectif sera de vivre une saison plus tranquille que l’an passé. Nous aimerions engranger rapidement quelques victoires pour ne plus sentir le spectre de la relégation. Nous avons l’un des plus petits budgets de la série, un budget peut-être même inférieur à celui de certains clubs de Régionale, mais avec nos moyens, je trouve que nous faisons du bon boulot. »
Muylaert rejoint Struelens sur les noms des favoris de la série : « Les équipes néerlandophones sont toujours difficiles à battre. Je songe en particulier à Ypres, qui avait réalisé un bon deuxième tour l’an passé et qui s’est encore renforcé. Gistel aussi est dangereux, encore qu’avec cette équipe, cela peut varier d’une semaine à l’autre, selon qu’elle dispose ou non des jeunes joueurs d’Ostende. Et il faudra sans doute se méfier de Woluwe, qui a réalisé un profond remaniement de son effectif. »
Dans l’autre série, qui regroupe les clubs liégeois, limbourgeois et anversois, Ninane affiche certaines ambitions. « Cela fait plusieurs années que l’on côtoie le haut du tableau, mais cette fois, je pense qu’il est temps de franchir un palier et de viser l’accession à la N2 », assure le coach Mark Hawley, l’ancien joueur britannique de Liège. « Le problème se situe toujours au niveau du budget. Avec le budget qui est le nôtre, il est difficile de monter une équipe qui offre des garanties de surclasser les autres. Il y a toujours une part de risques. Pourtant, j’ai l’impression cette fois-ci pourrait être la bonne. L’équipe que j’ai sous la main est la meilleure que j’ai jamais eue. Et puis, après trois ans, les joueurs commencent à assimiler mes principes. Je n’ai pas peur de le clamer : je vise le titre. »
Quels seront les principaux rivaux ? « Bonne question. Le championnat n’a pas encore commencé et je n’ai pas encore eu l’occasion de voir tous nos adversaires à l’œuvre. En outre, beaucoup de changements ont eu lieu durant l’été, il faut donc s’attendre à quelques surprises. Je pense que, comme chaque année, Ekeren figurera parmi les prétendants. Peut-être aussi Pitzemburg. Vilvorde et Aerschot devraient aussi jouer un rôle intéressant. Du côté de Liège, je suis assez surpris par Alleur, qui vient pourtant de monter de Régionale mais qui semble présenter une équipe très compétitive. Les premières journées de compétition apporteront plus d’enseignements sur les forces en présence. »
Dans la même série, Pepinster Bis ne visera pas aussi haut. « Vu l’incertitude qui régnait sur l’avenir du club, plusieurs joueurs nous ont quitté », regrette le coach Bernard Schoonbroodt. « On a fait monter de catégorie quelques joueurs qui évoluaient déjà chez nous et on a réalisé deux transferts : un jeune joueur de 18 ans du centre de formation AWBB et le retour de Maxime Englebert, qui a déjà été affilié chez nous mais n’a pas joué l’an passé. Nous avons surtout un objectif de formation, le classement est accessoire. Même si, pour ces jeunes, il est préférable d’évoluer en N3 plutôt qu’en Régionale. »
Schoonbroodt ne veut pas trop se mouiller sur les noms des favoris de la série. « Il est encore trop tôt pour le dire. On y verra plus clair dans un mois et demi. Dans la région liégeoise, parmi Ninane, Esneux et Spa, c’est effectivement le premier cité qui présente le plus bel effectif. Mais il reste la vérité du terrain. Et les doubles affiliations présentes dans plusieurs clubs peuvent changer la donne d’une semaine à l’autre. »
Daniel Devos