Nom du Club: CSJ Chènée
Recherche: Joueur
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Position: 4, 5
Personne de contact: ODEURS Hervé
Téléphone: 0497307542
E-mail: herve.muriel@hotmail.com
Information utiles: suite a de nombreuses absence , nous cherchons a etoffé notre secteur interieur
Club recherche Joueuse/Joueur
Nom du Club: CSJ Chènée
Recherche: Joueur
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Régional (AWBB), Provincial (AWBB)
Position: 4, 5
Personne de contact: ODEURS Hervé
Téléphone: 0497307542
E-mail: herve.muriel@hotmail.com
Information utiles: suite a de nombreuses absence , nous cherchons a etoffé notre secteur interieur
Club zoekt Speelster/Speler
Nom du Club: Dragon Fly BC Malmedy
Recherche: joueuse
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
Position: 1, 2, 3, 4, 5
Personne de contact: Verjans Bertrand
Téléphone: 0496189362
E-mail: verjans.b@skynet.be
Information utiles: Notre club recherche joueuses dès 15 ans pour son équipe p3 dames. Entrainenents lundi et mercredi de 19h30 à 21h au hall des sports de Malmedy.
Club recherche Joueuse/Joueur
Nom du Club: Dragon Fly BC Malmedy
Recherche: joueuse
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
Position: 1, 2, 3, 4, 5
Personne de contact: Verjans Bertrand
Téléphone: 0496189362
E-mail: verjans.b@skynet.be
Information utiles: Notre club recherche joueuses dès 15 ans pour son équipe p3 dames. Entrainenents lundi et mercredi de 19h30 à 21h au hall des sports de Malmedy.
Axel Hervelle : « Je ne songe plus à la NBA»
Axel Hervelle, qui vient de fêter ses 30 ans en mai, reste le capitaine emblématique et l’âme des Belgian Lions, malgré l’émergence d’autres talents. En 2011, il avait raté le Championnat d’Europe dans des circonstances dramatiques : blessé lors du dernier match amical contre la France, deux jours avant le départ. Il attend donc la Slovénie avec une certaine impatience.
Axel, comment appréhendez-vous ce rendez–vous ?
A.H. : Avec beaucoup d’envie, c’est clair. La motivation est très présente et l’ambiance est excellente dans l’équipe.
L’accident qui vous avait privé du voyage en Lituanie, il y a deux ans, vous trotte-t-il encore en tête, alors que l’heure du départ pour Ljubljana approche ?
A.H. : Non, je n’u pense plus. Je me donne toujours à fond, à l’entraînement comme en match.
Sommes-nous armés pour faire bonne figure à Ljubljana ?
A.H. : On visera une qualification pour le deuxième tour. Rien que cela, cela témoigne déjà des progrès accomplis en une dizaine d’années. Jadis, l’objectif était de se qualifier pour l’Euro et on a dû attendre longtemps avant d’y parvenir. Aujourd’hui, on s’est qualifié pour la deuxième fois d’affilée – et pas la dernière, j’espère – et on s’y rendra avec des ambitions.
Pouvez-vous comparer l’équipe de cette campagne-ci avec celle de 2011 ?
A.H. : Aux postes 1 et 2, avec Sam Van Rossom et Jonathan Tabu, entre autres, on n’a rien à envier aux meilleures équipes européennes. Au poste 3, avec Matt Lojeski et Wen Mukubu, on est parés aussi, désormais. A l’intérieur, en revanche, on manque de taille et de poids. Tomas Van den Spiegel et Didier Mbenga ne sont plus là, et cela fait pas mal de centimètres en moins. Alors, lorsque Christophe Beghin doit sortir, on manque de solutions. On a tendance à chercher Lojeski, mais c’est un peu court comme alternative.
Dans ces circonstances, quelles seront les clefs de la réussite ? Le tir à distance et la défense ?
A.H. : La confiance. Et celle-ci passe par la défense.
Il faudra jouer cinq matches en six jours à Ljubljana. Un manque d’énergie et de lucidité risque-t-il de nous jouer des tours, à la longue ?
A.H. : C’est au coach à trouver les solutions pour effectuer les rotations nécessaires.
Etes-vous surpris par Lojeski ?
A.H. : Je n’avais jamais joué avec lui, mais j’avais suivi ses prestations à distance. C’est un joueur très intelligent : après le premier jour d’entraînement, il avait déjà assimilé tous nos systèmes. Sa lecture du jeu est exceptionnelle.
Peut-il réussir à l’Olympiacos ?
A.H. : Oui, assurément. Il n’aura pas le même rôle qu’à Ostende, il touchera moins le ballon, mais grâce à sa lecture du jeu, il sera d’une aide précieuse pour ses partenaires.
Vous-même, vous avez rempilé pour deux saisons à Bilbao malgré des problèmes financiers annoncés…
A.H. : Ces problèmes ont été solutionnés par l’Etat basque. On repartira avec les mêmes ambitions, c’est-à-dire jouer le top en Espagne et aller le plus loin possible sur le front européen. Essayer de gagner un trophée, aussi.
Songez-vous encore à la NBA ?
A.H. : Non, j’ai fait une croix dessus.
Ne pas avoir connu cette expérience vous laissera-t-il des regrets?
A.H. : Aucun. J’aurai eu une belle carrière européenne et cela suffit à mon bonheur.
Daniel Devos
Axel Hervelle : « Je ne songe plus à la NBA»
Axel Hervelle, qui vient de fêter ses 30 ans en mai, reste le capitaine emblématique et l’âme des Belgian Lions, malgré l’émergence d’autres talents. En 2011, il avait raté le Championnat d’Europe dans des circonstances dramatiques : blessé lors du dernier match amical contre la France, deux jours avant le départ. Il attend donc la Slovénie avec une certaine impatience.
Axel, comment appréhendez-vous ce rendez–vous ?
A.H. : Avec beaucoup d’envie, c’est clair. La motivation est très présente et l’ambiance est excellente dans l’équipe.
L’accident qui vous avait privé du voyage en Lituanie, il y a deux ans, vous trotte-t-il encore en tête, alors que l’heure du départ pour Ljubljana approche ?
A.H. : Non, je n’u pense plus. Je me donne toujours à fond, à l’entraînement comme en match.
Sommes-nous armés pour faire bonne figure à Ljubljana ?
A.H. : On visera une qualification pour le deuxième tour. Rien que cela, cela témoigne déjà des progrès accomplis en une dizaine d’années. Jadis, l’objectif était de se qualifier pour l’Euro et on a dû attendre longtemps avant d’y parvenir. Aujourd’hui, on s’est qualifié pour la deuxième fois d’affilée – et pas la dernière, j’espère – et on s’y rendra avec des ambitions.
Pouvez-vous comparer l’équipe de cette campagne-ci avec celle de 2011 ?
A.H. : Aux postes 1 et 2, avec Sam Van Rossom et Jonathan Tabu, entre autres, on n’a rien à envier aux meilleures équipes européennes. Au poste 3, avec Matt Lojeski et Wen Mukubu, on est parés aussi, désormais. A l’intérieur, en revanche, on manque de taille et de poids. Tomas Van den Spiegel et Didier Mbenga ne sont plus là, et cela fait pas mal de centimètres en moins. Alors, lorsque Christophe Beghin doit sortir, on manque de solutions. On a tendance à chercher Lojeski, mais c’est un peu court comme alternative.
Dans ces circonstances, quelles seront les clefs de la réussite ? Le tir à distance et la défense ?
A.H. : La confiance. Et celle-ci passe par la défense.
Il faudra jouer cinq matches en six jours à Ljubljana. Un manque d’énergie et de lucidité risque-t-il de nous jouer des tours, à la longue ?
A.H. : C’est au coach à trouver les solutions pour effectuer les rotations nécessaires.
Etes-vous surpris par Lojeski ?
A.H. : Je n’avais jamais joué avec lui, mais j’avais suivi ses prestations à distance. C’est un joueur très intelligent : après le premier jour d’entraînement, il avait déjà assimilé tous nos systèmes. Sa lecture du jeu est exceptionnelle.
Peut-il réussir à l’Olympiacos ?
A.H. : Oui, assurément. Il n’aura pas le même rôle qu’à Ostende, il touchera moins le ballon, mais grâce à sa lecture du jeu, il sera d’une aide précieuse pour ses partenaires.
Vous-même, vous avez rempilé pour deux saisons à Bilbao malgré des problèmes financiers annoncés…
A.H. : Ces problèmes ont été solutionnés par l’Etat basque. On repartira avec les mêmes ambitions, c’est-à-dire jouer le top en Espagne et aller le plus loin possible sur le front européen. Essayer de gagner un trophée, aussi.
Songez-vous encore à la NBA ?
A.H. : Non, j’ai fait une croix dessus.
Ne pas avoir connu cette expérience vous laissera-t-il des regrets?
A.H. : Aucun. J’aurai eu une belle carrière européenne et cela suffit à mon bonheur.
Daniel Devos
Club zoekt Coach
Nom du Club: DFBC MALMEDY
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
Personne de contact: VERJANS BERTRAND
Téléphone: 0496189362
E-mail: verjans.b@skynet.be
Information utiles: Je recherche un coach pour une équipe de poussins au sein de mon club. 2 entraînements semaine d’1h15 plus match. Très urgent car reprise ce mercredi 21 août. BERTRAND VERJANS Président
Club recherche Coach
Nom du Club: DFBC MALMEDY
Niveau de l’equipe: Provincial (AWBB)
Niveau d’expérience souhaité: Provincial (AWBB)
Personne de contact: VERJANS BERTRAND
Téléphone: 0496189362
E-mail: verjans.b@skynet.be
Information utiles: Je recherche un coach pour une équipe de poussins au sein de mon club. 2 entraînements semaine d’1h15 plus match. Très urgent car reprise ce mercredi 21 août. BERTRAND VERJANS Président
Sébastien Ledure, le fils de Jacques Ledure qui est avocat de profession, a fait du bon boulot, une nouvelle fois. Après Didier Mbenga et Jonathan Tabu, il a réussi à obtenir de la FIFA que Wen Mukubu soit reconnu comme Belge à part entière et plus comme naturalisé. Ce qui permettra aux Belgian Lions d’aligner côte à côte Matt Lojeski et lui lors du Championnat d’Europe.
Wen, vous voilà Belge à 100%. Quelque part logique, puisque vous aviez un passeport belge dès la naissance ?
W.M. : En fait, j’ai toujours eu trois passeports : celui du Congo, le pays où je suis né ; celui des Etats-Unis, le pays où j’ai grandi ; et celui de la Belgique, le pays de mes parents. Mais je ne l’ai su que plus tard. Quand on est jeune, on ne se soucie pas trop de ce genre de considération. Un jour, au début des années 2000, ma mère m’a apporté mon passeport belge à Miami, où j’habitais. Ce n’est que lorsqu’on commence à jouer au basket en Europe que l’on prend conscience de l’importance de ce document.
Avec Matt Lojeski et vous, l’équipe nationale belge dispose désormais d’une force de frappe toute neuve à l’aile. Deux joueurs complémentaires qui doivent faire de ce poste jadis faible l’un de nos points forts…
W.M. : Ah ça, pour être complémentaires, on est complémentaires ! Matt et moi avons des caractéristiques tout à fait différentes. Nous nous connaissons depuis longtemps. Savez-vous que nous avons même joué ensemble aux Utah Jazz ? En Summer League, s’entend. C’était en 2007, si je me souviens bien. Matt était impatient de rejoindre l’équipe nationale belge, il m’a souvent téléphoné durant l’été. Il en avait vraiment envie. Nous voilà maintenant réunis… pour le meilleur, espérons-le.
Durant l’été, vous avez aussi signé à Charleroi…
W.M.: Les bases ont été jetées en juin, durant les Finals NBA. L’été, je retourne régulièrement à Miami, rejoindre mes frères et le reste de ma famille. Jacques Stas est venu pour commenter les matches sur BeTV. Il m’a pris comme consultant, avec Jean-Marc Mwema, qui passait également ses vacances en Floride. Il est aussi venu à la maison et nous avons discuté d’un possible transfert au Spirou.
Vous aviez d’autres propositions ? De l’étranger, notamment?
W.M : Oui. De France, d’Allemagne, d’Israël. Mais ma priorité était de rester en Belgique. Et puis, Charleroi c’est Charleroi. A savoir, un club qui lutte chaque année pour les trophées. C’est ce à quoi j’aspirais. Je veux me bâtir un palmarès.
Quitte à rogner sur votre temps de jeu ?
W.M : Mais vous savez, dans mes clubs précédents, je n’ai jamais exigé de jouer 35 minutes par match. Ce sont les circonstances et la composition de l’effectif qui l’ont voulu. Tout comme elles m’ont amené à prendre souvent mes responsabilités offensivement, ce qui m’a parfois fait passer pour un individualiste. Je suis parfaitement capable de me mettre au service de l’équipe et de faire passer mon intérêt personnel avant le mien. D’ailleurs, si cette attitude me permet de gagner, il y va aussi de mon intérêt. Or, je veux gagner, être un vainqueur.
Daniel Devos
Sébastien Ledure, le fils de Jacques Ledure qui est avocat de profession, a fait du bon boulot, une nouvelle fois. Après Didier Mbenga et Jonathan Tabu, il a réussi à obtenir de la FIFA que Wen Mukubu soit reconnu comme Belge à part entière et plus comme naturalisé. Ce qui permettra aux Belgian Lions d’aligner côte à côte Matt Lojeski et lui lors du Championnat d’Europe.
Wen, vous voilà Belge à 100%. Quelque part logique, puisque vous aviez un passeport belge dès la naissance ?
W.M. : En fait, j’ai toujours eu trois passeports : celui du Congo, le pays où je suis né ; celui des Etats-Unis, le pays où j’ai grandi ; et celui de la Belgique, le pays de mes parents. Mais je ne l’ai su que plus tard. Quand on est jeune, on ne se soucie pas trop de ce genre de considération. Un jour, au début des années 2000, ma mère m’a apporté mon passeport belge à Miami, où j’habitais. Ce n’est que lorsqu’on commence à jouer au basket en Europe que l’on prend conscience de l’importance de ce document.
Avec Matt Lojeski et vous, l’équipe nationale belge dispose désormais d’une force de frappe toute neuve à l’aile. Deux joueurs complémentaires qui doivent faire de ce poste jadis faible l’un de nos points forts…
W.M. : Ah ça, pour être complémentaires, on est complémentaires ! Matt et moi avons des caractéristiques tout à fait différentes. Nous nous connaissons depuis longtemps. Savez-vous que nous avons même joué ensemble aux Utah Jazz ? En Summer League, s’entend. C’était en 2007, si je me souviens bien. Matt était impatient de rejoindre l’équipe nationale belge, il m’a souvent téléphoné durant l’été. Il en avait vraiment envie. Nous voilà maintenant réunis… pour le meilleur, espérons-le.
Durant l’été, vous avez aussi signé à Charleroi…
W.M.: Les bases ont été jetées en juin, durant les Finals NBA. L’été, je retourne régulièrement à Miami, rejoindre mes frères et le reste de ma famille. Jacques Stas est venu pour commenter les matches sur BeTV. Il m’a pris comme consultant, avec Jean-Marc Mwema, qui passait également ses vacances en Floride. Il est aussi venu à la maison et nous avons discuté d’un possible transfert au Spirou.
Vous aviez d’autres propositions ? De l’étranger, notamment?
W.M : Oui. De France, d’Allemagne, d’Israël. Mais ma priorité était de rester en Belgique. Et puis, Charleroi c’est Charleroi. A savoir, un club qui lutte chaque année pour les trophées. C’est ce à quoi j’aspirais. Je veux me bâtir un palmarès.
Quitte à rogner sur votre temps de jeu ?
W.M : Mais vous savez, dans mes clubs précédents, je n’ai jamais exigé de jouer 35 minutes par match. Ce sont les circonstances et la composition de l’effectif qui l’ont voulu. Tout comme elles m’ont amené à prendre souvent mes responsabilités offensivement, ce qui m’a parfois fait passer pour un individualiste. Je suis parfaitement capable de me mettre au service de l’équipe et de faire passer mon intérêt personnel avant le mien. D’ailleurs, si cette attitude me permet de gagner, il y va aussi de mon intérêt. Or, je veux gagner, être un vainqueur.
Daniel Devos
Street Basket à Mons
La 5ème édition du « Street Basket », organisé conjointement par Belfius Mons-Hainaut et le Piétonnier Montois se tiendra le samedi 24 août de 14h à 17h dans le haut du piétonnier (près de la fontaine).
Le concept de ce Street Basket est de permettre aux ados (12-18 ans) de venir se mesurer aux joueurs professionnels de l’équipe montoise sur un terrain monté dans le piétonnier.
Sous la forme de petits matchs de basket de quelques minutes (équipes mixtes joueurs pros – ados), rythmés par le tempo d’un DJ. A noter qu’il s’agira de la toute première sortie publique de l’équipe version 2013-2014 !
Street Basket à Mons
La 5ème édition du « Street Basket », organisé conjointement par Belfius Mons-Hainaut et le Piétonnier Montois se tiendra le samedi 24 août de 14h à 17h dans le haut du piétonnier (près de la fontaine).
Le concept de ce Street Basket est de permettre aux ados (12-18 ans) de venir se mesurer aux joueurs professionnels de l’équipe montoise sur un terrain monté dans le piétonnier.
Sous la forme de petits matchs de basket de quelques minutes (équipes mixtes joueurs pros – ados), rythmés par le tempo d’un DJ. A noter qu’il s’agira de la toute première sortie publique de l’équipe version 2013-2014 !